• 5. LE LOUP ET LES LAPINS
    (CONTE MARTINIQUAIS) 

    21.     Inquiétante visite.

    22.     Le moulin à café

    23.     La canne à sucre.

    24.     La passoire

    25.     Sauvés!

     

    Cinquième conte de : Marcel Berry, Une semaine avec ... les bêtes chez elles, Premier Livre, Hachette.

    (cliquez sur le titre pour accéder à la table des matières de l'ouvrage) 

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • 1. Ba, Be, Bi, Bo, Bu-Bu
     2. Un vrai pêcheur 
    3. François 
    4. Drôle de pêcheur 
    5. Pris  

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  • 3. LE PETIT NIGAUD (GRIMM)  
    1. Les trois frères 
    2. Un curieux château. 
    3. Les perles 
    4. La clef de la princesse. 
    5.     Nigaud devenu roi  

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  • 2. PORCINET LE GOURMAND  
    (M. DU GENESTOUX)  

        1. Porcinet 
        2. Porcinet a faim
         3.Chez Stop  
        4. Dans la basse-cour. 
        5. Pic ! sur l'oreille ! 

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    Auteur : Roger Dévigne (1885-1965).
     
    1. LE LIÈVRE ET LES CROCODILES (R. DEVIGNE)  
     1. Le lièvre qui s'ennuyait
     2. L'idée du lièvre blanc 
    3. Un... deux... trois 
    4. Un bon compte 
    5. Puni !  
     
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     7.  Voyage aérien de Tom Pouce.

     

    1. Tom qui, vous le savez, n’était pas plus gros que le pouce de son père, devait retourner à la cour du roi Arthur. Un matin que le vent soufflait du côté du palais du roi, la reine des fées, marraine de Tom, l’embrassa tendrement et lui dit adieu. Puis, l’ayant mis à cheval sur un courant d’air, elle souffla sur lui.

     Et Tom, flottant dans l’espace comme le liège sur l’eau, eut bientôt perdu de vue le palais de la fée.

     2. Le voilà parti... Mais le malheur voulut que le vent fut dans un de ses mauvais jours. Il lui prit une bourrasque telle, qu’une petite ombrelle, que la marraine de Tom lui avait donnée pour qu’il pût s’en servir de parachute, fut arrachée de ses mains. Et, d’un seul coup, le petit voyageur fut précipité dans la cour du palais.

     3. Le cuisinier passait par là, portant une soupière contenant un bouillon pour le roi.

     Voyez le malheur ! Tom s’abattit au milieu de la soupière, et la soupe toute chaude jaillit au visage du cuisinier qui, dans son effroi, laissa tomber le déjeuner du roi en criant au feu et à l’assassin.

     4. Ce jour-là, le roi ne déjeuna pas, parce qu’il n’y avait plus de soupe dans le palais, et il en fut de si mauvaise humeur que, sur son ordre, on enferma Tom, sans plus tarder, sous un chapeau dont les bords furent assujettis avec de grosses pierres.

     Pauvre Tom !

     p.-j. Stahl. Aventures de Tom Pouce (Hachette, édit.)

     Les mots.Parachute : appareil qui ralentit la chute des gens ou des corps qui tombent d’une grande hauteur. — Assujettis : fixés.


     — EXERCICES ORAUX SUR LA LECTURE —

     — 1. Où Tom devait-il aller ?

     — 2. Sur quoi la fée le plaça-t-elle ?

     — 3. À quoi devait lui servir l’ombrelle ?

     — 4. Dans quoi tomba-t-il ?

     — 5. Que fit le cuisinier ?

     — 6. Que fit-on de Tom ? 

     


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    35. Kiki.

     Sylvie a recueilli un chien perdu qui est passé sous une auto. On a emmené l’animal chez un vétérinaire.

     1. « Il n’a jamais dû manger à sa faim, dit le vétérinaire. Vous n’avez qu’à le soigner. Si tout va bien, dans quelques jours, vous lui donnerez un bain et vous aurez un chien présentable. »

     Après deux jours de soins énergiques, le malade va mieux. Dès qu’on lui met une écuelle sous le nez, il se jette dessus. La vaisselle est nettoyée en un clin d’œil. Le reste du temps, il se cherche les puces, ce qui inquiète un peu Sylvie... « Que veux-tu, soupire maman, c’est un chien qui n’a reçu aucune éducation ! »

     2. Dès qu’il est hors de danger, on décide de lui donner un bain. On le plonge dans la baignoire. Il s’affole, il veut s’enfuir, puis, rassuré peu à peu, il s’assied sur son derrière. Aussitôt, il est frotté avec des serviettes, séché au séchoir électrique, peigné au peigne fin. Alors, à la place d’un paquet gris et sale, on voit apparaître un loulou à la robe de soie blanche avec une queue en panache.

     3. « Est-il joli maintenant ! s’écrie Sylvie. Il faudrait lui trouver un nom.

     — Il en a déjà un, si c’est un chien perdu, continue maman. Mais comment le savoir ?

     — Il n’y a qu’à dire devant lui tous les noms qui nous passeront par la tête », répond papa.

     Et, aussitôt, il commença : « Pompon ! Médor ! Toto ! Riquet ! Youyou ! »

     Le petit chien écoute avec surprise.

     « Kiki ! » lance enfin papa. Alors le petit chien pousse un jappement joyeux et balaie le sol avec sa queue. Kiki est adopté : il fait partie de la famille. 


     Henri Troyat. — La maison des bêtes heureuses  (Bias, édit.) - Adaptation 

     Les mots. Vétérinaire : personne qui soigne les animaux blessés ou malades. — Un chien présentable : un chien qu’on a plaisir à montrer. — Séchoir électrique : appareil qui fonctionne à l’électricité et qui souffle de l’air chaud. — Jappement : aboiement. 

     — EXERCICES ORAUX SUR LA LECTURE — 

     — 1. Pourquoi le vétérinaire leur demande-t-il d’attendre quelques jours avant de donner un bain au chien ?

     — 2. Quelle est la race de ce chien ? À quoi sert cette race de chiens ? 

     — 3. Pensez-vous que ce chien s’appelle réellement Kiki ? Pourquoi ?

     


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    33. Les feuilles mortes.

     

    1. Voici l’automne. Le vent qui souffle dans les bois fait tournoyer les feuilles mortes. Les châtaigniers sont déjà dépouillés ainsi que les bouleaux et les trembles, et, seul, un grand chêne garde encore sa couronne d’or.

     2. La matinée est fraîche ; un vent aigre agite le ciel gris et rougit les doigts des petits enfants. Pierre, Babet et Jeannot vont ramasser les feuilles mortes. Elles serviront de litière à Riquette, la chèvre, et à Roussette, la vache. Pierre a pris sa hotte ; c’est un petit homme. Babet a pris son sac ; c’est une petite femme. Jeannot les suit avec la brouette. Ils ont descendu la côte en courant.

     3. A l’orée du bois, ils ont rencontré les autres enfants du village qui viennent aussi faire provision de feuilles mortes pour l’hiver. Voilà les enfants à l’œuvre...

     4. Cependant, le soleil qui monte réchauffe doucement la campagne. Des toits du hameau s’élèvent des fumées légères comme des haleines. Les enfants savent ce que disent ces fumées. Elles disent que la soupe aux pois cuit dans la marmite. Encore une brassée de feuilles mortes et les petits ouvriers prendront la route du village.

     5. La montée est rude. Mais la pensée de la soupe aux pois soutient leur courage. Ils arrivent enfin. Leur mère, qui les attend sur le pas de la porte, leur crie : « Allons, les enfants, la soupe est trempée ! »

     Nos amis la trouvent excellente. Il n’est si bonne soupe que celle qu’on a gagnée. 

     Anatole France. — Filles et Garçons  (Hachette, édit.) 

     

    Les mots. Litière : lit de feuilles mortes sur lequel les bêtes coucheront. — Hotte : panier que l’on porte sur le dos à l’aide de bretelles. — À l’œuvre : à l’ouvrage, au travail. Un vent aigre : un vent froid qui pique. 

     

    — EXERCICES ORAUX SUR LA LECTURE — 

     — 1. Quelles couleurs les feuilles prennent-elles en automne ?

     — 2. À quoi serviront ces feuilles mortes ? Cite d’autres végétaux qui peuvent servir de litière aux animaux. 

     — 3. Quelles sont les quatre saisons de l’année ?

     


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    34. Montmorency et le chat.

     Montmorency est un jeune chien qui n’aime pas les chats.

      1. Nous revenions de la baignade, et nous étions dans la grand-rue quand un chat sortit d’une maison et se mit, en trottinant, à traverser la chaussée...

     C’était un gros matou noir... Je n’ai jamais vu de chat plus gros...

     2. Montmorency poussa un cri de joie et se précipita derrière ce pauvre chat à l’allure de trente kilomètres à l’heure. Mais le chat ne prit pas la peine de presser le pas. Il continua de trottiner paisiblement jusqu’à ce que le chien ne fût plus qu’à un mètre de lui. Il fit alors demi-tour, s’assit au milieu de la chaussée et regarda Montmorency en ayant l’air de l’interroger : «Tiens, tiens ! C’est à moi que vous en avez ? »

     Montmorency ne manque pas d’audace; mais il y avait dans la mine de ce chat de quoi glacer le cœur du chien le plus brave. Il s’arrêta brusquement et considéra Minet.

     3. Ni l’un ni l’autre ne parlèrent, mais la conversation que l’on peut imaginer entre eux fut certainement celle-ci :

     Le chat. — Puis-je quelque chose pour vous?

     Montmorency. — Non... Merci, non.

     Le chat. — Vous savez, il ne faut pas vous gêner si vraiment vous désirez quelque chose.

     Montmorency, reculant un peu. — Oh ! non, pas du tout... Je vous assure... Ne vous inquiétez pas, je... je crois que j’ai fait erreur. Je pensais vous reconnaître. Pardon de vous avoir dérangé.

     Le chat. — Il n’y a pas de quoi... Vrai, vous ne désirez rien de moi ?

     Montmorency, reculant toujours. — Absolument rien, merci... pas du tout... Vous êtes trop aimable. Au revoir, portez-vous bien.

     Le chat. — Merci. Vous aussi.

     4. Le chat se leva et repartit en trottinant. Montmorency, la queue entre les pattes et l’air piteux, s’en revint vers nous et se plaça modestement à l’arrière-garde.

     Depuis lors, il suffit de prononcer les mots : « Un chat ! » pour voir Montmorency frissonner et vous adresser un regard lamentable, l’air de dire : « Je vous en prie, épargnez-moi ! »

     Jerome K. Jerome. Trois Hommes dans un bateau  (Nelson, édit.) - Adaptation 

      

    Les mots. La chaussée : la rue. — À l’allure : à la vitesse. — Glacer le cœur : faire grand-peur. — L’air piteux : Montmorency a l’air si malheureux qu’il fait pitié. — À l’arrière-garde : derrière ses maîtres. — Épargnez-moi : ayez pitié de moi, ne me parlez pas des chats.

     

    — EXERCICES ORAUX SUR LA LECTURE — 

     — 1. Comment le chat traverse-t-il la chaussée ?

     — 2. Que fit Montmorency quand il aperçut le chat ? 

     — 3. Que fit le chat quand Montmorency fut à un mètre de lui ?


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    32. Le tigre, le singe et le chasseur (3).

     1. Quand on fut arrivé chez Mony, Ali raconta son histoire une fois de plus. Le singe parut réfléchir. Il murmura enfin : « Je ne comprends pas.

     — Qu’est-ce que tu ne comprends pas ? hurla le tigre en grinçant des dents. C’est pourtant clair.

     — Je ne comprends pas, reprit Mony, comment un tigre comme toi a pu tomber dans un piège.

     — Viens, grogna le tigre, et tu vas voir ! »

     2. Ils retournèrent auprès de la trappe. Mony regarda le piège et le tigre et dit : « Je ne comprends toujours pas. » Alors le tigre perdit patience. Il regarda le singe avec pitié : « Seigneur, est-il permis d’être aussi bête ? dit-il en soupirant. Tiens, voilà comment c’est arrivé ! Comprends-tu, maintenant, vilain singe? »

     En prononçant ces mots, le tigre sauta dans la fosse. Mony, qui n’attendait que cela, ferma aussitôt la trappe.

     3. « Voilà, dit-il, cette fois j’ai compris. »

     Puis il ajouta en gambadant et en grimaçant comme font tous les singes, qui sont souvent très mal élevés : « Ali a manqué de bon sens en délivrant le tigre. Ali est fou ! Le tigre n’aurait pas dû tomber dans le piège s’il avait fait attention. Le tigre est fou ! D’ailleurs tous les tigres sont fous et tous les hommes sont fous. Il n’y a que les singes qui soient intelligents, car ils comprennent tout, et Mony est le plus intelligent des singes de Java. » 

     Car cette histoire s’est passée en Asie, il y a très très longtemps, dans une île qui existe encore et qui s’appelle l’île de Java.

     D’après un conte populaire d’Extrême-Orient

     Les mots. — Piège : c’est la trappe placée au-dessus de la fosse. — En gambadant : en faisant des bonds. — Ali a manqué de bon sens : Ali n’a pas été intelligent.

     
    — EXERCICES ORAUX SUR LA LECTURE —

     — 1. Pourquoi le singe fait-il semblant de ne pas comprendre ce que raconte Ali ?



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