• genre : comptine

    source : Le Livre des bêtes

     

    les petits lapins

     

     


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  • genre : comptine

    source : Le Livre des bêtes

     

     


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  • auteur : Madeleine Ley

    genre : poème

    source : Le Livre des bêtes

     

    Chien perdu (Madeleine Ley)

     

    D'autres poésies de Madeleine Ley :

    La girafe


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  • Contributeur : Sowandi

    Manuel numérique : DoubleCasquette - Lecture CE

    Texte 40. Robinson s’installe dans l’île
    (Voir texte 27.)
    Robinson s’est rendu au bateau échoué. Il y a construit un radeau pour emporter outils, armes et provisions qu’il a débarqués à l’embouchure d’une petite rivière.

    1. — Pour reconnaître le pays, je me rendis, armé de mon fusil, vers une montagne qui se trouvait à un mille de là, et qui semblait en dominer d'autres, vers le nord. Je commençai l'ascension, fatigante et pénible. Enfin, après beaucoup d'efforts, j'arrivai au sommet. J'étais dans une île. La mer m'entourait de toutes parts. A quelques lieues vers l'ouest, deux petits îlots. Aucun continent en vue.

    2. — A force de chercher, je finis par trouver aux environs de la rivière, une esplanade dont le front était à pic, à tel point que je n’avais pas à craindre d’être attaqué par là. Sur le devant, il y avait une excavation qui semblait l’entrée d’une caverne, mais qui, en réalité, n’aboutissait à rien. C’est là, devant cette cavité, que je résolus de m’installer. Devant ma future habitation s’étendait un tapis gazonné qui se terminait en pente douce vers la mer.
    L’orientation était au nord-ouest. De la sorte, la colline m’abritait de la grande chaleur jusqu’au coucher du soleil.

    3. — Avant de dresser ma tente, je traçai devant le creux du rocher un demi-cercle d’un rayon de douze mètres. J’y plantai deux rangées de gros pieux que j’enfonçai profondément. C’était un ouvrage solide. Pour entrer chez moi, je fis non pas une porte, mais une petite échelle qui m’aidait à franchir le rempart. Je la tirais dedans une fois rentré.

    4. — Dans cette forteresse, je transportai mes provisions, mes munitions ; en un mot, toute ma fortune. Au-dessus, je dressai une grande tente, doublée pour me garantir des pluies. Et je couvris le tout d’une toile goudronnée que j’avais sauvée avec les voiles.
    Robinson effectue plusieurs voyages d’exploration pour connaître toute son île. Celle-ci est constituée de rivières et ruisseaux, de chaînes de collines, d’une vallée verte, fleurie, tempérée, où les fruits abondent.

    5. — Je traversai toute la vallée dont j’ai parlé et je découvris la mer à l’ouest. Le temps était fort clair. Je voyais jusqu’à l’extrême limite de l’horizon.
    Là-bas, tout au fond, une ligne sombre s’étendait de l’ouest au sud-ouest, éloignée au moins de quinze lieues. Je reconnus la terre !

    D’après DANIEL DE FOE. — Robinson Crusoé.
    ________________________________________
    LES MOTS
    — Une lieue : unité de mesure d’une longueur.
    — Une excavation : creux, trou dans un terrain.
    Gazonné : recouverte de gazon, d’herbe.
    — Une toile goudronnée : toile recouverte d’un mélange imperméabilisant (qui empêche l’eau de pénétrer).
    QUESTIONNAIRE
    — 1. Que fait Robinson pour reconnaître le pays ?
    — 2. Que fit-il avant de dresser sa tente ? Pourquoi ?
    — 3. Que fit-il pour rentrer chez lui ? Pourquoi ?
    COMMENTAIRE
    — 4. Pourquoi Robinson n’est-il pas resté à bord du bateau échoué ?


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  • Contributeur : Sowandi

    Manuel numérique : DoubleCasquette - Lecture CE

    Texte 39. Projet de vacances
    1. Bien entendu, nous nous mîmes à parler de nos prochaines vacances. Elles devaient être les plus belles parce que les dernières.
    Claude nous livra le premier ses desseins.
    « J'irai voir mon oncle de Sicile. J'habiterai Taormina et, de la maison jusqu'à la mer, il n'y a que la largeur de la plage. »

    2. Nous admirâmes Claude, parce que la Sicile nous paraissait au bout du monde. Je me sentais bien déshérité après de tels projets. Que pouvais-je inventer pour ne pas demeurer en reste ?
    Heureusement, Bernard me laissa le temps d'y réfléchir. « Moi, j'irai en Angleterre chez des amis.
    - Tu nous avais caché que tu avais des amis là-bas, lui dit Claude.
    - Oui, j'ai des amis qui habitent le bord d'une rivière. J'apprendrai à nager, je participerai aux courses de bateaux. »

    3. Antoine, timidement, parla à son tour :
    « Je vais vous paraître banal, mais je ne quitterai pas le pays. Nous avons un chalet à 2 000 mètres d'altitude et, là, je vivrai seul avec mon chien. J'aime les pierres, le silence.... »

    4. Au fur et à mesure de ces projets plus beaux les uns que les autres, une grande détresse m'envahit. Je pensais au petit appartement de ma mère, à l'étouffement de l'été dans les rues de la ville. En outre je savais ce qui m'attendait; peut-être une saison chez les paysans ? Le désespoir absurde de ne pouvoir forger de projets de vacances s'empara de moi. Je ne voulais pas être ridicule. Paul le remarqua-t-il ? Se penchant vers moi, il me glissa à l'oreille :
    « Ne t'inquiète pas, tu auras aussi des vacances. »

                                                    G. BORGEAU, Le Préau
    ________________________________________
    LES MOTS
    Des camarades livrent leurs desseins (leurs projets). Le plus déshérité (pauvre, sans ressources suffisantes) en souffre; il est pris d'un désespoir absurde (sot, ridicule), car il ne peut faire de si beaux projets.
    QUESTIONNAIRE
    — 1. Pourquoi ces vacances doivent-elles être les plus belles ?
    — 2. Pourquoi l'enfant se sent-il déshérité ?
    — 3. Pourquoi Antoine craint-il de paraître banal en parlant de ses vacances ?
    COMMENTAIRE
    — 4. Antoine a-t-il raison de craindre de paraître banal ?


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  • contributeur : Sowandi

    Recueil : DoubleCasquette - Lecture CE

    Texte 38. Le bazar magique
    1. J'avais vu de loin plusieurs fois le bazar magique. Une fois ou deux j’étais passé devant sa vitrine aux objets attrayants : balles ensorcelées, miroirs magiques, gobelets merveilleux, mais jamais il ne m'était venu à l'idée d'entrer.

    2. Pourtant, un jour, tout à fait à l'improviste, Gip m'amena devant la vitrine. Il fit tant et si bien qu'il ne me resta plus qu'à entrer avec lui....
    La boutique était petite, étroite, et assez mal éclairée... Le marchand apparut derrière son comptoir, curieux bonhomme, une oreille plus grande que l'autre et un menton en galoche.

    3. « Qu'est-ce qui me vaut le plaisir...? commença-t-il en étendant ses longs doigts magiques sur la vitrine.
    - Je voudrais, répondis-je, acheter à mon petit garçon, quelques simples tours.
    - Tours de passe-passe ? Mécaniques ? ou jeux d'appartement ?
    - Pourvu que ce soit amusant », dis-je.

    4. Hum! fit le marchand en se grattant la tête et en réfléchissant un moment. Alors, très visiblement, il tira de sa tête une boule de verre. « Quelque chose de ce genre? » demanda-t-il en tendant l'objet.
    J'étais étonné. J'avais déjà vu très souvent exécuter ce tour. Il fait partie du travail ordinaire des prestidigitateurs, mais je ne m'y attendais certes pas ici... « Ah! C’est très bien! » fis-je en riant.

    5. Gip tendit le bras pour prendre la boule, mais la main du marchand était vide. « Vous la trouverez dans votre poche », dit l'homme. Gip se fouilla : la boule y était.
    « Combien vous dois-je?
    - Nous ne faisons pas payer les boules de verre, répondit poliment le commerçant. Nous les avons - en parlant il en tira une seconde de son coude - pour rien. »

    D’après H.G. WELLS. Douze histoires et un Rêve
    ________________________________________
    LES MOTS
    — Les objets magiques de la vitrine sont attrayants ; ils tentent les clients.
    À l'improviste : sans qu'on s'y attende.
    — Le prestidigitateur, est un homme très habile de ses doigts.
    QUESTIONNAIRE
    — 1. Pourquoi la vitrine du prestidigitateur était-elle si attrayante ?
    — 2. Quels tours l'homme exécute-t-il ?
    COMMENTAIRE
    — 3. Le marchand a-t-il vraiment pour rien les boules magiques ? Pourquoi dit-il cela ?


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  • contributeur : Sowandi

    Recueil : DoubleCasquette - Lecture CE

    Texte 37. Le naufrage du « Pharaon »

    Le navire «Le Pharaon », pris dans une tempête, a coulé ; le matelot Pénelon fait au propriétaire du bateau, M. Morrel, le récit du naufrage.


    1. « Pénelon, me dit le capitaine, je crois que nous coulons, mon vieux; donne-moi donc la barre et descends à la cale. »
    Je lui donne la barre, je descends; il y avait déjà trois pieds d'eau. Je remonte en criant : « Aux pompes! aux pompes! »
    Ah! bien oui, il était déjà trop tard ! On se met à l'ouvrage, mais je crois que plus nous en tirions, plus il y en avait...


    2. Mais il n'en est pas moins vrai que l'eau montait toujours, pas de beaucoup... mais enfin elle montait.


    « Allons, dit le capitaine, c'est assez comme cela, et M. Morrel n'aura rien à nous reprocher : nous avons fait ce que nous avons pu pour sauver le bâtiment; maintenant il faut tâcher de sauver les hommes. À la chaloupe, enfants, et plus vite que cela !... »
    Tant il y a qu'en un tour de main la chaloupe était à la mer et que nous étions tous les huit dedans.


    3. Le capitaine descendit le dernier, où plutôt non, il ne descendit pas, car il ne voulait pas quitter le navire, c'est moi qui le pris à bras-le-corps et le jetai aux camarades; après quoi je sautai à mon tour.


    4. Il était temps... Dix minutes après... brrrou ! tout a été dit, plus de Pharaon! Quant à nous, nous sommes restés trois jours sans boire ni manger... Quand nous aperçûmes la Gironde, nous lui fîmes des signaux, elle nous vit, mit le cap sur nous, nous envoya sa chaloupe et nous recueillit. Voilà comment ça s'est passé, monsieur Morrel, parole d'honneur ! foi de marin!


    ALEXANDRE DUMAS. Le comte de Monte-Cristo
    ________________________________________
    LES MOTS
    — La barre : commande du gouvernail qui permet de diriger un bateau.
    — Chaloupe : petit bateau à rames.
    QUESTIONNAIRE
    — 1. Pourquoi les matelots pompent-ils ?
    — 2. Quand les hommes décident-ils d’abandonner le navire ?
    — 3. Comment l'équipage est-il sauvé ?
    COMMENTAIRE
    — 4. Pourquoi le capitaine voulait-il rester sur le navire ?


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  • Conte traditionnel adapté par Maéva téléchargeable sur Rue des instits (page des copines)

    sons simples + ou, an, on, oi, in, ai, eau, eu, elle/ette/erre, les valeurs de c, g

     

    Jacques et le haricot magique (texte adapté CP)


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  • Niveau : 0

    Nouveau texte adapté sur le site Rue des Instits (rubrique La page des copines).

    sons simples + ou, an, on, oi, in, ai, eau, eu, elle/ette/erre, gn, les valeurs de c, g

    D'après La grosse faim de P'tit Bonhomme de Pierre Delye et Cécile Hudrisier, Didier Jeunesse

    adapté par Maéva

    Cliquez sur les images pour ouvrir la Page des copines.


    Le gros appétit de P'tit bonhomme


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  • 1. Bobêt 
    2. Des oeufs de lièvre 
    3. Chez la belette 
    4. Chez les poulettes 
     5. Et tous les ans  
     

    Huitième conte de : Marcel Berry, Une semaine avec ... les bêtes chez elles, Premier Livre, Hachette.

    (cliquez sur le titre pour accéder à la table des matières de l'ouvrage) 

     

    les poules qui, la veille de Pâques, font une jolie surprise au lièvre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     
     

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