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Cinq documentaires non réédités sur la nature à voir sur le blog Leçons de choses :
Guide du promeneur dans la forêt.
Comment fleurir jardins et balcons.
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C'est sur le blog de JPP. Cliquez sur la couverture de l'Odyssée pour lire l'article :
Aujourd'hui Thibault nous a apporté le livre de son frère "Le Club des Cinq aux sports d'hiver", édition récente de la Bibliothèque Rose. Il l'a comparé avec l'édition qu'il a empruntée pour lui-même dans notre bibliothèque de classe et qui date des années 1960.
Dès la première phrase, Thibault a bien remarqué la substitution du présent de l'indicatif au passé simple ; et il en est ainsi dans tout l'ouvrage.
En rééditant la célèbre série Le Club des Cinq, les éditions Hachette ont éliminé totalement l'emploi narratif du passé simple et ont procédé à la réactualisation du texte par suppression des mots désuets.Voir aussi cet autre article traitant des modifications apportées au Club des Cinq sur le blog de Celeborn :
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♠ Les marchands
♣ La pêche aux anguilles
♥ L'andouille
♦ Les jambons d'Ysengrin
4 scènes à retrouver sur le blog de Jakadi : ici.
Sinon, pour chercher les textes qui sont sur le blog Littérature au primaire traitant de Jules Renard, du renard et plus particulièrement du renard du roman de Renart, vous ne pouvez pas utiliser la barre de recherche ci-dessous. Mais il y a la même à gauche, et cette dernière fonctionne, elle.
sur ce blog.
source de l'image : http://roman-de-renart.blogspot.com/
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Découvrez ce petit documentaire de 1986 sur le blog Leçons de choses.
Bonne lecture et bonne culture !
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Up ! Parution d'un nouveau chapitre.
En ce moment, sur son blog, DoubleCasquette écrit une série d'articles fort instructifs précisant ses recommandations pour apprendre à lire et écrire de la maternelle au CE1.
Apprendre à lire, c'est vraiment simple
II - De cinq à sept ans
1) Écrire de 5 à 7 ans : de l'apprentissage du geste à l'expression écrite normée
2) Observer - de l'intérêt porté aux signes à l'analyse de la langue écrite
3) Lire, de l'apprentissage du code à la lecture courante
4) Enrichir sa culture : de la transmission orale à l’accès autonome à l’écrit
La sorcière Murubu (Thierry Venot, De l'écoute des sons à la lecture GS)
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♦ Comment Panurge échappa des mains des Turcs
♦ Panurge et Dindenault
♦ La vengeance de Panurge
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Nous voici au Moyen-Âge, pour lier connaissance avec Till Eulenspiegel (ce nom est à l'origine de notre adjectif "espiègle"), un joyeux luron qui passait son temps à dire des plaisanteries et à jouer des tours pendables.
Apprenez comment, en son enfance, Till en joua un bon à deux maraudeurs nocturnes.
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source : replikultes
Marcel : Il les a tuées ! Il les a tuées ! toutes les deux, il les a tuées !
Marcel adulte [voix off] : Et, dans mes petits poings sanglants, où pendaient quatre ailes dorées, je haussai vers le ciel la gloire de mon père en face du soleil couchant.
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Georges Banet (niveau 3, à partir du CE2)
Les deux avares (Niveau 4-5, à partir du CM1)
L'école buissonnière (Niveau 4-5, à partir du CM1)
Une jeunesse en Provence (Niveau 5, à partir du CM2)
L'école buissonnière et les fleurs de glais (Niveau 5, à partir du CM2)
Mes origines (Niveau 5, à partir du CM2)
Les camisoles (Niveau 5, à partir du CM2)
Ruse de guerre (Niveau 5, à partir du CM2)
Biographie et bibliographie de Frédéric Mistral (Wikipedia)
source de la photo : Wikipedia
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Depuis quelques jours, les belles fleurs de glais commençaient à s’épanouir et les mains me démangeaient d’aller cueillir quelques-uns de ces beaux bouquets d’or.
J’arrive au fossé ; doucement, je descends au bord de l’eau ; j’envoie la main pour attraper les fleurs… Mais, comme elles étaient trop éloignées, je me courbe, je m’allonge, et patatras dedans : je tombe dans l’eau jusqu’au cou.
Je crie. Ma mère accourt ; elle me tire de l’eau, me donne quelques claques, et, devant elle, trempé comme un caneton, me faisant filer vers le Mas :
– Que je t’y voie encore, vaurien, vers le fossé !
– J’allais cueillir des fleurs de glais.
– Oui, va, retournes-y, cueillir tes glais, et encore tes glais. Tu ne sais donc pas qu’il y a un serpent dans les herbes cachés, un gros serpent qui hume les oiseaux et les enfants, vaurien ?
Et elle me déshabilla, me quitta mes petits souliers, mes chaussettes, ma chemisette, et pour faire sécher ma robe trempée et ma chaussure, elle me chaussa mes sabots et me mit ma robe du dimanche, en me disant :
– Au moins, fais attention de ne pas te salir.
Et me voilà dans l’aire ; je fais sur la paille fraîche quelques jolies cabrioles ; j’aperçois un papillon blanc qui voltige dans un chaume. Je cours, je cours après, avec mes cheveux blonds flottant au vent hors de mon béguin… et paf ! me voilà encore vers le fossé du Puits à roue…
Oh ! mes belles fleurs jaunes ! Elles étaient toujours là, fières au milieu de l’eau, me faisant montre d’elles, au point qu’il ne me fut plus possible d’y tenir. Je descends bien doucement, bien doucement sur le talus ; je place mes petons biens ras, bien ras de l’eau ; j’envoie la main, je m’allonge, je m’étire tant que je puis… et patatras ! je me fiche jusqu’au derrière dans la vase.
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