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    Anna enfant :
    Elsa ?
    Je voudrais un bonhomme de neige
    Oh, viens jouer avec moi !
    Tu te caches, on ne se voit plus.
    Dis, que fais-tu ?
    Tu n'es plus vraiment toi.
    Nous étions sœurs et amies,
    Mais c'est fini.
    J'aimerais savoir pourquoi !

    Je voudrais un bonhomme de neige,
    Oui, s'il te plait un bonhomme de neige...

    Elsa enfant :
    Va-t'en, Anna.

    Anna enfant :
    Pense à moi...

    ***

    Anna jeune :
    Je voudrais un bonhomme de neige,
    Ou faire du vélo dans la cour.
    Je suis une fille en manque de compagnie,
    Je parle aux murs et à ces portraits qui m'entourent !
    (Salut Jeanne d'Arc !)
    Je suis seule et je m'ennuie,
    Tu restes de glace,
    Et moi j'attends que les heures passent...

    ***

    Anna :
    Elsa...
    Peux-tu ouvrir cette porte ?

    Pourquoi restes-tu enfermée ?
    On me dit : "sois forte, le temps arrange tout"
    Mais j'ai besoin de nous
    Pour oublier

    Que nous n'avons plus personne,
    Plus aucune famille ;
    Quel avenir pour nous ?

    Je voudrais un bonhomme de neige...

     

    Le Renouveau (La Reine des Neiges, Disney)

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    La Reine des Neiges (les paroles des chansons)

     


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    Libérée, délivrée (La Reine des Neiges, Disney)

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    Libérée, délivrée

    L'hiver s'installe doucement dans la nuit,
    La neige est reine à son tour.
    Un royaume de solitude : ma place est là pour toujours.
    Le vent qui hurle en moi ne pense plus à demain.
    Il est bien trop fort, j'ai lutté en vain.
    Cache tes pouvoirs, n'en parle pas,
    Fais attention, le secret survivra.

    Pas d'états d'âme, pas de tourments, de sentiments.

    Libérée, délivrée, je ne mentirai plus jamais.
    Libérée, délivrée, c'est décidé, je m'en vais.
    J'ai laissé mon enfance en été.
    Perdue dans l'hiver, le froid est pour moi le prix de la liberté.


    Quand on prend de la hauteur, tout semble insignifiant.
    La tristesse, l'angoisse et la peur m'ont quitté depuis longtemps.
    Je veux voir ce que je peux faire
    De cette magie pleine de mystère.

    Le bien, le mal je dis tant pis, tant pis.

    Libérée, délivrée, les étoiles me tendent les bras.
    Libérée, délivrée, non je ne pleure pas.
    Me voilà, oui je suis là, perdue dans l'hiver.


    Mon pouvoir vient du ciel et envahit l'espace.
    Mon âme s'exprime en dessinant et sculptant dans la glace
    Et mes pensées sont des fleurs de cristal gelées.
    Je ne reviendrai pas, le passé est passé.

    Libérée, délivrée, désormais plus rien ne m'arrête.
    Libérée, délivrée, plus de princesse parfaite.
    Je suis là comme je l'ai rêvé.
    Perdue dans l'hiver, le froid est pour moi le prix de la liberté.

     

    Le Renouveau (La Reine des Neiges, Disney)

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    La Reine des Neiges (les paroles des chansons)

     


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  • Depuis que je suis sur la terre [militaire], 
    C'n'est pas rigolo. Entre nous,
    Je suis d'une santé précaire,
    Et je m'fais un mauvais sang fou,
    J'ai beau vouloir me remonter,
    Je souffre de tous les côtés.

    J'ai la rate
    Qui s'dilate
    J'ai le foie
    Qu'est pas droit

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  • C'est la belle nuit de Noël.
    La neige étend son manteau blanc.
    Et les yeux levés vers le ciel,
    À genoux, les petits enfants,
    Avant de fermer leurs paupières,
    Font une dernière prière. 

    Petit papa Noël,
    Quand tu descendras du ciel,
    Avec des jouets par milliers,
    N'oublie pas mon petit soulier.

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  • Clip vidéo John Mc Euen (banjo + chant), ci-dessous :

    Vidéo paroles en anglais : ici

    Histoire de la chanson : wikipedia.

    Paroles en français : ici

    Et maintenant, Titi et Grand-mère :

     

     

    Également entraînant, voir aussi :

    C'est un curieux bonhomme, Banjo il se nomme.


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    Vidéo avec paroles

    Video avec paroles 2 (+ montage photos)

    Les gens qui voient de travers
    Pensent que les bancs verts
    Qu'on voit sur les trottoirs
    Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
    Mais c'est une absurdité
    Car à la vérité
    Ils sont là c'est notoire
    Pour accueillir quelque temps les amours débutants

    Les amoureux qui s'bécot'nt sur les bancs publics
    Bancs publics, bancs publics
    En s'foutant pas mal du r'gard oblique
    Des passants honnêtes
    Les amoureux qui s'bécot'nt sur les bancs publics
    Bancs publics, bancs publics
    En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
    Ont des p'tit's gueul's bien sympathiques

    Ils se tiennent par la main
    Parlent du lendemain
    Du papier bleu d'azur
    Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher
    Ils se voient déjà doucement
    Ell' cousant, lui fumant
    Dans un bien-être sûr
    Et choisissent les prénoms de leur premier bébé
     
    Quand la saint' famill' machin
    Croise sur son chemin
    Deux de ces malappris
    Ell' leur décoche hardiment des propos venimeux
    N'empêch' que tout' la famille
    Le pèr', la mèr', la fille
    Le fils, le Saint Esprit
    Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduir' comme eux

    Quand les mois auront passé
    Quand seront apaisés
    Leurs beaux rêves flambants
    Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds
    Ils s'apercevront émus
    Qu' c'est au hasard des rues
    Sur un d'ces fameux bancs
    Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour 


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  • Au village, sans prétention,
    J'ai mauvaise réputation ;
    Qu' je m' démène ou qu' je reste coi,
    Je pass’ pour un je-ne-sais-quoi.
    Je ne fais pourtant de tort à personne,
    En suivant mon ch’min de petit bonhomme ;
    Mais les brav’s gens n'aiment pas que
    L'on suive une autre route qu'eux…
    Non, les brav’s gens n'aiment pas que
    L'on suive une autre route qu'eux…
    Tout le monde médit de moi,
    Sauf les muets, ça va de soi.

    Le jour du Quatorze Juillet,
    Je reste dans mon lit douillet ;
    La musique qui marche au pas,
    Cela ne me regarde pas.
    Je ne fais pourtant de tort à personne,
    En n'écoutant pas le clairon qui sonne ;
    Mais les braves gens n'aiment pas que
    L'on suive une autre route qu'eux…
    Non, les braves gens n'aiment pas que
    L'on suive une autre route qu'eux…
    Tout le monde me montre au doigt,
    Sauf les manchots, ça va de soi.

    Quand j' croise un voleur malchanceux,
    Poursuivi par un cul-terreux;
    J' lance la patte et pourquoi le taire,
    Le cul-terreux se r’trouv’ par terre.
    Je ne fais pourtant de tort à personne,
    En laissant courir les voleurs de pommes ;
    Mais les brav’s gens n'aiment pas que
    L'on suive une autre route qu'eux…
    Non, les braves gens n'aiment pas que
    L'on suive une autre route qu'eux…
    Tout le monde se rue sur moi,
    Sauf les culs-d’-jatt’, ça va de soi.

    Pas besoin d'être Jérémie,
    Pour d’viner l’ sort qui m'est promis :
    S'ils trouv’nt une corde à leur goût,
    Ils me la passeront au cou.
    Je ne fais pourtant de tort à personne,
    En suivant les ch’mins qui ne mèn’nt pas à Rome ;
    Mais les brav’s gens n'aiment pas que
    L'on suive une autre route qu'eux…
    Non, les brav’s gens n'aiment pas que
    L'on suive une autre route qu'eux…
    Tout l' monde viendra me voir pendu,
    Sauf les aveugl’s, bien entendu.

    une wiki-analyse : ici


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  • Version karaoké

    Analyse détaillée de la chanson (analysebrassens.com)

    Source des paroles 

     

    Les copains d'abord 

    Non, ce n'était pas le radeau
    De la Méduse, ce bateau,
    Qu'on se le dis' au fond des ports,
    Dis' au fond des ports.
    Il naviguait en pèr' peinard
    Sur la grand-mare des canards,
    Et s'app'lait les Copains d'abord
    Les Copains d'abord.

    Ses « fluctuat nec mergitur »
    C'était pas d'la littératur’,
    N'en déplaise aux jeteurs de sort,
    Aux jeteurs de sort.
    Son capitaine et ses mat'lots
    N'étaient pas des enfants d'salauds,
    Mais des amis franco de port,
    Des copains d'abord.

    C'étaient pas des amis de lux',
    Des petits Castor et Pollux,
    Des gens de Sodome et Gomorrh',
    Sodome et Gomorrh'.
    C'étaient pas des amis choisis
    Par Montaigne et La Boéti',
    Sur le ventre ils se tapaient fort,
    Les copains d'abord.

    C'étaient pas des anges non plus,
    L'Evangile, ils l'avaient pas lu,
    Mais ils s'aimaient tout's voil's dehors,
    Tout's voil's dehors.
    Jean, Pierre, Paul et compagnie,
    C'était leur seule litanie
    Leur Credo, leur Confiteor,
    Aux copains d'abord.

    Au moindre coup de Trafalgar,
    C'est l'amitié qui prenait l'quart,
    C'est elle qui leur montrait le nord,
    Leur montrait le nord.
    Et quand ils étaient en détresse,
    Qu'leurs bras lancaient des S.O.S.,
    On aurait dit des sémaphores,
    Les copains d'abord.

    Au rendez-vous des bons copains,
    Y'avait pas souvent de lapins,
    Quand l'un d'entre eux manquait à bord,
    C'est qu'il était mort.
    Oui, mais jamais, au grand jamais,
    Son trou dans l'eau n'se refermait,
    Cent ans après, coquin de sort !
    Il manquait encore.

    Des bateaux j'en ai pris beaucoup,
    Mais le seul qui ait t’nu le coup,
    Qui n'ait jamais viré de bord,
    Mais viré de bord,
    Naviguait en père peinard
    Sur la grand-mare des canards,
    Et s'app'lait les Copains d'abord
    Les Copains d'abord.
     

    © 1965 ED. MUSICALES 57
    Texte et musique G. Brassens


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  • Le petit jardin

    C'était un petit jardin
    Qui sentait bon le Métropolitain
    Qui sentait bon le bassin parisien
    C'était un petit jardin
    Avec une table et une chaise de jardin
    Avec deux arbres, un pommier et un sapin
    Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin

    Mais un jour près du jardin
    Passa un homme qui au revers de son veston
    Portait une fleur de béton
    Dans le jardin une voix chanta

    {Refrain}
    De grâce, de grâce, monsieur le promoteur,
    De grâce, de grâce, préservez cette grâce
    De grâce, de grâce, monsieur le promoteur
    Ne coupez pas mes fleurs

    C'était un petit jardin
    Qui sentait bon le Métropolitain,
    Qui sentait bon le bassin parisien
    C'était un petit jardin
    Avec un rouge-gorge dans son sapin
    Avec un homme qui faisait son jardin
    Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin

    Mais un jour près du jardin
    Passa un homme qui au revers de son veston
    Portait une fleur de béton
    Dans le jardin une voix chanta

    {Refrain}

    C'était un petit jardin
    Qui sentait bon le Métropolitain
    A la place du joli petit jardin
    Il y a l'entrée d'un souterrain
    Où sont rangées comme des parpaings
    Les automobiles du centre urbain

    C´était un petit jardin
    Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin.
    C´était un petit jardin
    Au fond d'une cour à la Chaussée-d'Antin.

    source des paroles : http://en.lyrics-copy.com/jacques-dutronc/le-petit-jardin.htm


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  • Le petit âne gris

    Écoutez cette histoire,
    Que l'on m'a racontée.
    Du fond de ma mémoire,
    Je vais vous la chanter.

    Elle se passe en Provence,
    Au milieu des moutons,
    Dans le Sud de la France,
    Au pays des santons.

    Quand il vint au domaine,
    Y avait un beau troupeau ;
    Les étables étaient pleines
    De brebis et d'agneaux.

    Marchant toujours en tête,
    Aux premières lueurs,
    Pour tirer sa charrette
    Il mettait tout son coeur.

    Au temps des transhumances,
    Il s'en allait heureux,
    Remontant la Durance,
    Honnête et courageux.

    Mais un jour, de Marseille,
    Des messieurs sont venus.
    La ferme était bien vieille,
    Alors on l'a vendue.

    Il resta au village ;
    Tout le monde l'aimait bien,
    Vaillant malgré son âge
    Et malgré son chagrin.

    Image d’Évangile,
    Vivant d'humilité,
    Il se rendait utile
    Auprès du cantonnier.

    Cette vie honorable
    Un soir s'est terminée.
    Dans le fond d'une étable,
    Tout seul il s'est couché.

    Pauvre bête de somme,
    Il a fermé les yeux.
    Abandonné des hommes,
    Il est mort sans adieu.

    Cette chanson sans gloire
    Vous racontait la vie,
    Vous racontait l'histoire
    D'un petit âne gris.

     

    Source des paroles : http://musique.ados.fr/Hugues-Aufray/Le-Petit-Ane-Gris-t4195.html


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