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Rondes et Chansons de France, interprétées par Lucienne Vernay et les Quatre Barbus, 1958
Source : http://www.youtube.com/playlist?list=PL4543C9954D862F62&feature=plcp
Volume 7
- Une poule grise
- La chèvre
- Le crocodile
- Le petit Bricou
- Les petits poissons
- La jeune grenouille
- Une souris verte
- Il court, il court le furet
Une poule grise
La chèvre
Le crocodile
Le petit Bricou
Les petits poissons
La jeune grenouille
Une souris verte
Il court, il court le furet
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Rondes et Chansons de France, interprétées par Lucienne Vernay et les Quatre Barbus, 1958
Source : http://www.youtube.com/playlist?list=PL4543C9954D862F62&feature=plcp
Volume 6
- Il était un petit navire
- Meunier, tu dors
- Dansons la capucine
- Compagnons de la Marjolaine
- Il pleut, il pleut bergère
- Compère Guilleri
- Arlequin dans sa boutique
- Nous n’irons plus au bois
Il était un petit navire
Meunier, tu dors
Dansons la capucine
Compagnons de la Marjolaine
Il pleut, il pleut bergère
Compère Guilleri
Arlequin dans sa boutique
Nous n’irons plus au bois
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Rondes et Chansons de France, interprétées par Lucienne Vernay et les Quatre Barbus, 1958
Source : http://www.youtube.com/playlist?list=PL4543C9954D862F62&feature=plcp
Volume 5
- Gentil coquelicot
- Ainsi font, font, font
- Les rois Mages
- Mon beau sapin
- Ah ! vous dirai-je maman
- Il y a des roses blanches
- Je suis un petit garçon
- Nuit étoilée
- La légende de Saint-Nicolas
Gentil coquelicot
Ainsi font, font, font
Les rois Mages
Mon beau sapin
Ah ! vous dirai-je maman
Il y a des roses blanches
Je suis un petit garçon
Nuit étoilée
La légende de Saint-Nicolas
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Vieille chanson du jeune temps
Je ne songeais pas à Rose ;
Rose au bois vint avec moi ;
Nous parlions de quelque chose,
Mais je ne sais plus de quoi.
J'étais froid comme les marbres ;
Je marchais à pas distraits ;
Je parlais des fleurs, des arbres
Son oeil semblait dire: " Après ? "
La rosée offrait ses perles,
Le taillis ses parasols ;
J'allais ; j'écoutais les merles,
Et Rose les rossignols.
Moi, seize ans, et l'air morose ;
Elle, vingt ; ses yeux brillaient.
Les rossignols chantaient Rose
Et les merles me sifflaient.
Rose, droite sur ses hanches,
Leva son beau bras tremblant
Pour prendre une mûre aux branches
Je ne vis pas son bras blanc.
Une eau courait, fraîche et creuse,
Sur les mousses de velours ;
Et la nature amoureuse
Dormait dans les grands bois sourds.
Rose défit sa chaussure,
Et mit, d'un air ingénu,
Son petit pied dans l'eau pure
Je ne vis pas son pied nu.
Je ne savais que lui dire ;
Je la suivais dans le bois,
La voyant parfois sourire
Et soupirer quelquefois.
Je ne vis qu'elle était belle
Qu'en sortant des grands bois sourds.
" Soit ; n'y pensons plus ! " dit-elle.
Depuis, j'y pense toujours.Victor Hugo
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Le Pont Mirabeau
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeureGuillaume Apollinaire (1880 - 1918)
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