• Santiano (Hugues Aufray)

     

     

     
    Santiano

    C'est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau.
    Hisse et ho, Santiano !
    Dix huit nœuds, quatre cent tonneaux :
    Je suis fier d'y être matelot.

    Tiens bon la vague et tiens bon le vent.
    Hisse et ho, Santiano !
    Si Dieu veut toujours droit devant,
    Nous irons jusqu'à San Francisco.

    Je pars pour de longs mois en laissant Margot.
    Hisse et ho, Santiano !
    D'y penser j'avais le cœur gros
    En doublant les feux de Saint-Malo.

    On prétend que là-bas l'argent coule à flots.
    Hisse et ho, Santiano !
    On trouve l'or au fond des ruisseaux.
    J'en ramènerai plusieurs lingots.

    Un jour, je reviendrai chargé de cadeaux.
    Hisse et ho, Santiano !
    Au pays, j'irai voir Margot.
    A son doigt, je passerai l'anneau.

    Tiens bon le cap et tiens bon le flot
    Hisse et ho, Santiano !
    Sur la mer qui fait le gros dos,
    Nous irons jusqu'à San Francisco.

    C'est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau.
    Hisse et ho, Santiano !
    Dix huit nœuds, quatre cent tonneaux :
    Je suis fier d'y être matelot.

    source des paroles : http://www.paroles-musique.com/paroles-Hugues_Aufray-Santiano-lyrics,p12796

     

    Santiano (Hugues Aufray)

    Santiano (Hugues Aufray)

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